BEAUTY AND THE GREEKS
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-28%
Le deal à ne pas rater :
Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 couverts – L60cm
279.99 € 390.99 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 ALEXIS&WEENIE ♦ « maybe i was wrong »

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité




ALEXIS&WEENIE ♦ « maybe i was wrong » Vide
MessageSujet: ALEXIS&WEENIE ♦ « maybe i was wrong »   ALEXIS&WEENIE ♦ « maybe i was wrong » EmptyVen 5 Nov - 1:27

M’excuser. Un verbe que je ne connaissais que trop peu. Une action que je ne faisais que trop rarement dans ma vie. Je n’étais pas du genre à m’excuser, même lorsque j’étais en tort, particulièrement lorsque j’étais en tort. J’étais l’une de ses filles orgueilleuses qui préféraient encore laisser le problème là où il était, quitte à ce qu’il devienne encore plus gros plutôt que d’aller faire de simples et plates excuses pour que tout se règle. C’était stupide, immature et probablement plusieurs autres adjectifs dans le genre, mais c’était toujours comme ça que j’avais réagi, et si quelqu’un m’avait dit la semaine dernière que tout était sur le point de changer, je lui aurais probablement ri au visage. Sauf qu’il aurait eu raison, malheureusement. Sinon je ne me retrouverais pas devant la porte qui mène à la résidence d’Alexis en ce dimanche soir, après une semaine sans que l’on ne se soit vues, ni même parlées. Et autant ça me faisait chier de me retrouver là et sentir que je devais lui faire des excuses alors qu’au fond, je ne me sentais pas vraiment mal pour ce que je lui avais dit, ça me faisais encore plus chier de devoir passer à travers mes journées sans sa présence. Je ne l’avais pas encore réalisé - parce qu’on ne réalise jamais complètement l’importance de quelqu’un lorsqu’il est toujours là - mais Alexis avait pris une place dans ma vie. Malgré tout, malgré ce que je clamais, malgré ce que je voulais, elle s’était faufilée une place dans mon coeur et c’était trop dur d’aller contre mon envie de la revoir, de la ravoir près de moi. Et ça me faisais peur, d’avoir tant besoin d’elle soudainement. Mais pour l’instant, je m’en foutais. Je voulais simplement revoir ce visage angélique, ce petit sourire gamin sur ses lèvres et savoir que je n’avais pas tout foutu en l’air encore une fois. Je n’étais pas certaine d’être en mesure de continuer sans elle plus longtemps. Elle avait été ma petite dose quotidienne de bonne humeur, celle qui inconsciemment m’avait empêché de virer complètement folle depuis que les choses avaient déraillées avec Kaitlin. Et je ne pouvais me permettre de perdre ça, je ne pouvais me permettre de la perdre.

Je lève le bras et j’hésite à frapper à la porte devant laquelle je suis depuis plus d’une dizaine de minutes. Je suis là, comme une idiote le bras lever, sans même osée faire quoique ce soit. J’ai probablement l’air pathétique alors que je sens la présence de d’autres étudiants qui vont et vient dans les couloirs de la résidence, alors que moi je reste là, immobile, réfléchissant toujours à savoir si non seulement, ma présence ici est une bonne idée, ou encore si j’en ai la force et le courage. J’ai cette peur inavouée au fond de moi, celle que je ne peux me permettre d’avouer à voix haute qui me dit que si je n’y vais pas, elle ne reviendra jamais. Et je veux pas ça. Alors dans un dernier soupir, une dernière grande respiration, je me décide finalement à cogner trois grands coups contre la porte, l’écho de ces trois coups me résonnant dans les oreilles, comme une musique brusque qui me martèle le crâne. Je suis impatiente, encore plus que je ne peux l’être normalement et j’en fais trembler mes jambes alors que j’espère vraiment qu’Alexis ne tardera pas à ouvrir la porte. J’ai l’impression de trembloter de partout, comme une feuille sous le vent d’automne et je me calme finalement lorsque la porte s’ouvre, laissant entrevoir une jeune Miller qui semble surprise de me voir là. Je tente un sourire, mais elle garde un air sérieux ce qui me refroidit un peu sur le moment. Je passe une main dans mes cheveux et sort une de ces répliques déjà toutes formées que j’avais repassé encore et encore dans ma tête, exactement comme une scène au cinéma. Le désavantage avec la réalité, c’est que je n’avais qu’une seule chance pour bien la jouer. « Est-ce que je peux exister maintenant? Est-ce que je peux être quelqu’un dans ta vie maintenant ou tu vas me foutre dehors? » Évidemment, je fais référence à notre dernière conversation, celle où elle me disait qu’étant donné que sa mère venait la visiter, elle n’existait plus dans ma vie et je n’existais plus dans la sienne. Parce qu’elle s’affirmait pas encore, pas devant sa mère, sa famille dans tous les cas et d’une certaine façon, je le lui avais reproché. C’est ce qui m’avait mené ici, ce qui avait causé notre froid. Parce que j’avais une grande gueule, voilà tout.

« J’suis désolée pour ce qui s’est passé l’autre jour.. J’pensais pas tout ce que j’ai dit. » C’était plus ou moins vrai, en réalité, mais j’avais appris que pour que nos excuses fassent plus vrai, il fallait regretter quelques unes de nos paroles, même si à notre avis, elles étaient complètement justifiées et pas dites de façon à insulter les autres. Je ne sais pas si c’est parce qu’Alexis m’en voulait encore ou bien parce qu’elle était complètement choquée de me voir m’excuser la première, alors que normalement j’aurais attendu qu’elle fasse les premiers pas, mais le fait était qu’elle demeurait silencieuse, sans aucune réaction qui aurait pu me dire ce qu’elle pensait présentement, ce qui me rendait carrément nerveuse et malade d’impatience qu’elle ouvre finalement la bouche. J’avais de nouveau tenté un sourire, incapable de gérer ce silence trop lourd entre nous deux. Pour une fois, j’avais envie qu’on parle, de tout et de rien, mais qu’on parle. Parce que la façon dont elle me regardait présentement ne me rassurait pas, pas du tout même. « Force-moi pas à le dire une deuxième fois, j’t’en prie. C’est assez difficile comme ça.. T’as même pas idée à quel point mon orgueil en mange un coup présentement.. »
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




ALEXIS&WEENIE ♦ « maybe i was wrong » Vide
MessageSujet: Re: ALEXIS&WEENIE ♦ « maybe i was wrong »   ALEXIS&WEENIE ♦ « maybe i was wrong » EmptyDim 14 Nov - 3:22

Je suis debout au milieu du recoin de ma miniature résidence, le regard posé sur mon micro-onde duquel émane une lumière jaunâtre et un bruit de râlement constant habituel. Ma mère est partie durant l’après-midi, après une fin de semaine emplie de cachoteries, chose pleinement naturelle chez les Miller. J’essaie d’oublier les reproches faits par Weenie quelques jours plus tôt, mais une partie de ma conscience lui accorde raison. J’en suffoque de frustration et mes sourcils se fronce devant la tasse d’eau chaude qui tourne devant mes yeux. Trois coups résonnent dans la pièce et j’expire en soulevant le visage. J’observe mon état physique, lâche un soupir et me dirige tout de même à l’entrée opposée. Avant d’ouvrir la porte, j’espérais que ça soit elle. Pourtant, une fois sa silhouette clairement présente sur le seuil de mon chez-moi, je refusais d’affronter la situation qui nous encadrait. J’étais définitivement une froussarde et Weenie me devançait déjà dans mes anticipations.

    WEENIE - « Est-ce que je peux exister maintenant? Est-ce que je peux être quelqu’un dans ta vie maintenant ou tu vas me foutre dehors? »
    ALEXIS – « Tu t’es auto-foutue dehors, tu sauras. »


Debout, appuyée contre la porte entrouverte, je fixe Weenie de haut en bas, mes mots quittant mes lèvres malgré moi. Ma main - toujours posée sur la poignée de l’autre côté de la porte - se crispe de nervosité, mais je n’en affiche rien. Mon visage neutre demeure de glace face à ses paroles, face à son sourire normalement si contagieux à mon égard. Je me sens ridicule d’agir ainsi, moi qui venais de passer une terrible fin de semaine, à rejouer en boucle la discussion qui avait mené à la problématique actuelle. Mon regard se perd sur le tapis qui change drastiquement à la jonction entre ma pièce à moi et le couloir plutôt achalandé à cette heure. Je me sens idiote, intimidée même. Les cheveux tombant en désordre sur mes épaules, mes cuisses dénudées avec un bas de pyjama d’été que je m’osais à porter à longueur d’année et mes pantouffles, touffues et usées - de les avoir trop portées - font tout sauf me mettre en valeur. Surtout à côté d’elle, de sa fière allure. Ses vêtements camouflant une silhouette parfaite, son visage illuminé et ses cheveux au reflet soyeux. Je remarque que mon regard se fait insistant alors que les mots me manquent. J’ai même un air renfrogné qui ne quitte plus mes traits durcis.

    WEENIE - « J’suis désolée pour ce qui s’est passé l’autre jour.. J’pensais pas tout ce que j’ai dit. »


Sa voix s’adoucit, ses yeux s’alarment même de mon silence prolongé. J’ai envie de la croire, mais je la connais trop bien. La sonnerie du micro-ondes m’oblige enfin à me détourner vers l’appareil, sans pourtant bouger de mon emplacement initiale. J’expire en haussant les sourcils, la tête en compote à tenter de raisonner la situation. J’avais envie de lui ouvrir la porte et d’avoir de nouveau droit à ses bras. Mais au final, ça n’effacerait rien. Alors je me renfrognais à me dire que ce plan « a », ne serait pas un bon choix. Mon impatience transparaît alors dans mon visage torturé d’émotions. J’appuie mon visage contre la structure de bois massive de la porte, le regard soudainement baissé au sol où mes yeux se perdent de désespoir sur mes pantouffles ridicules. J’entrouvre les lèvres, mais Weenie me devance et sa tonalité autant que ses traits tournent de plus en plus vers le désespoir. Mon cœur se contracte douloureusement et c’est en oubliant mes plans, mes conclusions irréalistes que je suis envahie de pitié, aveuglée par le vrai problème. Celui qui perdure. Encore et encore et qu’on évite avec habileté dans une entente muette.

    WEENIE - « Force-moi pas à le dire une deuxième fois, j’t’en prie. C’est assez difficile comme ça.. T’as même pas idée à quel point mon orgueil en mange un coup présentement.. »


Je glisse mes pieds contre le tapis, pivotant la porte à son maximum dans un grincement minime qui se camouffle dans les bruits environnants du couloir animé. Ma voix n’ose pas se faire entendre, mais ma main glisse nonchalamment dans le vide – en guide d’invitation à entrer -. La conversation sera inévitable, autant la faire en privé. Weenie se glisse dans la résidence qu’elle connaît trop bien – chose normale vu la taille de la pièce en question – et je m’empresse de refermer la porte. Je pivote sur moi-même, faisant de nouveau face à la blonde qui me chavire le cœur alors que la situation à venir m’étire un frisson le long de mon dos. Je me passe une main dans les cheveux, souhaitant améliorer leur état catastrophique – en vain – et susurre des mots desquelles j’espère une réponse bien particulière que je doute réaliste.

    ALEXIS – « Pourquoi tu reviens? »


Mes épaules me semblent pesantes, d’un poids que j’ai de plus en plus de misère à supporter. Je n’ai même pas encore plongé au cœur du problème que déjà, j’ai ma voix qui tremble et mes yeux qui s’emplissent de larmes que je refoule avec aisance pour le moment. Je décide de m’affairer, de vaguer à mes habitudes, histoire de garder le peu de contrôle que je possédais encore. Mes pas m’amènent donc instinctivement au comptoir où repose un micro-onde éteint que j’ouvre d’un geste rapide. J’agrippe ma tasse par la hanse, amenant la tasse à mes lèvres, sans que je n’ose avaler une gorgée de peur de la température élevée du breuvage en soi. Je ne veux pas me retourner, pas tout de suite. J’ai pas envie de croiser son regard suppliant et de mâcher mes mots. Alors c’est maintenant ou jamais. J’ouvre la bouche, déterminée à sortir ce qui me pèse sur le cœur, mais même enragé de la situation, ce n’est que le désespoir qui résonne dans mes phrases…

    ALEXIS – « J’vois pas c’qui a changé après tout. J’suis toujours la fille qui s’affirme pas. Et t’es toujours celle qui veut pas s’impliquer. Alors peut-être que tu devrais te trouver une autre personne pour une amitié améliorée, parce que nous, c’est définitivement un échec. »

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




ALEXIS&WEENIE ♦ « maybe i was wrong » Vide
MessageSujet: Re: ALEXIS&WEENIE ♦ « maybe i was wrong »   ALEXIS&WEENIE ♦ « maybe i was wrong » EmptyLun 15 Nov - 5:26

Je ne sais pas ce à quoi je m‘attendais en décidant de venir rendre visite à Alexis. Peut-être que je ne m‘attendais à rien au fond, mais j‘aurais voulu que ce soit mieux que la scène qui prenait forme sous mes yeux. Et alors que je n‘ai droit à aucune réaction de la part de la jeune Miller, des images de « nos débuts» me reviennent en tête. De ce temps où tout était simple entre nous deux, où les questions n‘avaient pas leur place et où on pouvait passer du temps ensemble sans nécessairement se prendre la tête. J‘ai beau repasser dans ma tête tous nos moments, je me demande vraiment ce qui a fait en sorte que tout a changé. Qu‘est-ce qui a fait que les questions étaient devenues une partie si importante, et qui plus est drôlement destructrice, de notre relation. J’avais l’impression de me retrouver dans un remix raté de ma relation avec Kaitlin et c’était la dernière chose que je voulais. Ce n’était pas pour rien que je m’étais imposée la barrière « Aucun sentiment. » C’était pour éviter cette situation, éviter le désastre. Mais j’avais évidemment réussi à m’y foutre malgré moi, y plonger tête première. Quel gâchis.. [color=purple]« Tu t’es auto-foutue dehors, tu sauras. » Je soupire lourdement, j’arrive pas à croire qu’elle ose dire que je suis vraiment la fautive dans cette histoire, ou du moins la seule fautive. Certes, je n’étais jamais d’une aide particulière en cas de dispute, mais il faut dire que cette fois-là Alexis n’avait pas non plus en ange, celui qu’elle est normalement. Et je n’allais pas me gêner pour le lui dire. « Disons que tu m’as pas retenue non plus. » Je suis impulsive, peut-être un peu trop. Je suis pas venue ici pour repartir la chicane, au contraire. J’ai envie que ça se règle, que ça redevienne comme avant. Est-ce que c’est possible? Aussi fou que ça puisse paraître, j’ai envie d’y croire. Parce que je peux pas me permettre de perdre Alexis. Pas après tout ce qui s’est passé, pas après ce qu’elle est devenue pour moi, malgré que je suis pas prête à l’avouer. Je prends une grande respiration, tente de me calmer comme je peux. « Désolée.. » Ce n’est qu’un murmure, petit et peu convaincant, mais c’est probablement le mieux que je puisse faire. Et puis tant qu’à être venue pour des excuses, autant le faire comme il faut..

« Pourquoi tu reviens? » Sa question me prend par surprise. Alors que la porte vient de se refermer derrière moi, nous donnant une certaine intimité qui nous était impossible avec la porte grande ouverte et les étudiants qui allaient et venaient dans le couloir qui mènent à plusieurs des résidences du campus, je me retrouve sans mot, sans aucune réponse concrète. Qu’est-ce que j’étais censée répondre à une telle question après tout? Était-ce un piège, est-ce que je devais bien penser à ce que j’allais dire, est-ce que j’étais jugée? Et alors que mes yeux s’arrondissaient et que je cherchais un peu trop bien mes mots, j’ai réalisé que je m’en souciais. Pour la première fois depuis bien longtemps, je me souciais de l’opinion de quelqu’un sur moi. Moi qui clamait haut et fort que je me foutais des autres, voilà que j’étais retombée dans ce cercle infernal du mieux paraître. Pour Alexis, j’étais en train de replonger, et ce n’était clairement pas un bon signe, pas du tout. « J’croyais que.. J’croyais que tu serais contente. Je sais pas moi. » J’avais finalement choisi l’option dire n’importe quoi et j’avais cette drôle d’impression que ça se faisait entendre, comme si ma voix tremblait. C’était la première fois que les choses prenaient cette tournure avec Alexis. On avait vécu les disputes, les remises en question, mais jamais quelque chose ne nous était apparu aussi abruptement, et jamais rien n’avait autant sonné comme une fin. La fin de quoi? La fin de nous, de ce qu’on était, de ce que nous prétendions être? De notre amitié? De ce « plus » que nous partagions très souvent l’une dans les bras de l’autre? La fin de tout, la fin de rien? J’étais mêlée et je ne comprenais pas. Et j’aurais voulu comprendre, déchiffrer ce qui se passait dans le moment précis dans la tête de la brunette. Mais même lorsque je pensais qu’on avait toucher le fond, elle arrivait à me surprendre. « J’vois pas c’qui a changé après tout. J’suis toujours la fille qui s’affirme pas. Et t’es toujours celle qui veut pas s’impliquer. Alors peut-être que tu devrais te trouver une autre personne pour une amitié améliorée, parce que nous, c’est définitivement un échec. » Un échec? Est-ce que c’est vraiment comme ça qu’elle nous voit? Alors qu’à la base, on était supposée être rien d’autres que des amies qui s’accordaient parfois du bon temps, sans conséquence, on avait trouvé le moyen de devenir un échec. « C’est vraiment tout ce que tu retiens? Qu’on est un échec? » Cette fois-ci, je n’en doute même plus, ma voix tremble véritablement. Je crois que je n’ai jamais été aussi vulnérable devant Alexis et étonnamment, je ne sais pas comment me prendre en main, comment faire face à tout ça. Une nouvelle fois, je cherche les bons mots pour réagir, ceux qui éviteront que tout déraille encore plus, parce que c’est clairement la dernière chose que j’ai envie qu’il arrive. Bon dieu, comment est-ce qu’on a pu tombé si bas, dites-moi? « On était ces filles-là quand on a commencé à se voir et ça allait bien. J’me suis excusée pour ce que j’ai dis. T’as le droit d’être pas prête à t’afficher devant tes parents, au final je m’en fous. C’est pas moi qui me ment à moi-même à la fin d’la journée. » La dernière phrase est peut-être de trop, elle n’est peut-être pas aussi sincère que le reste non plus, mais elle vient avec l’idée générale et j’espère que le message va bien passer. « Et tu sais pourquoi j’m’implique pas. Sauf que j’veux personne d’autre que toi Alexis. » Wow. Est-ce que j’ai vraiment dit ça moi? Les mots sont sortis un peu tout seul, et soudainement, je doute moi-même de leur véritable signification..
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





ALEXIS&WEENIE ♦ « maybe i was wrong » Vide
MessageSujet: Re: ALEXIS&WEENIE ♦ « maybe i was wrong »   ALEXIS&WEENIE ♦ « maybe i was wrong » Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

ALEXIS&WEENIE ♦ « maybe i was wrong »

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
BEAUTY AND THE GREEKS :: MICHIGAN VALLEY UNIVERSITY :: ❝ résidences universitaires-