Fondée au début du XXème siècle, on ne saurait donner une date exacte à sa réelle fondation. Cette confrérie était autrefois, une assemblée secrète, composée essentiellement de femmes militantes, engagées socialement et politiquement. Les AKΛ étaient des femmes de l’ombre agissant pour faire évoluer les mentalités en la faveur des femmes. Leurs actions eurent de plus en plus d’impact, manifestations, meetings et autres actions « coup de poings ». Courageuses et dévouées à leurs causes, il était difficile de les faire taire. Si au début, cette confrérie était plutôt discrète et méconnue, elle fut pourtant très rapidement une tribune pour beaucoup d’étudiantes prometteuses. C’est finalement en 1921, après que le 19ème amendement de la Constitution Américaine, garantissant le droit de votes aux femmes, soit promulgué, que cette sororité s’officialisa. Forte de cette victoire, la confrérie put voir le nombre d’adhérentes augmenter d’années en années. Mais si les actions féministes se faisaient de plus en plus présentes, elles n’en demeuraient pas moins mal vue. C’est pourquoi les Alpha Kappa Lambda, restèrent une petite confrérie de moyenne importance. Les jeunes femmes de ces confréries étaient vue comme des idéalistes, des folles rêveuses. Mais elles faisaient des envieuses sans le moindre doute. Ce ne fut que dans les années 70, avec Elizabeth Absher que cette sororité prit réellement de l’ampleur, s’étendant progressivement dans toutes les Universités Américaines. Cette Présidente marqua les esprits par ses actions. Si les sœurs de cette confrérie restaient de véritables féministes, elles ne demeuraient pas moins engagées dans de nombreuses causes humanitaires. Constituant ainsi leur plus grande force Mais c’est lorsque la dite-Présidente, prononça son discours très largement inspiré du célèbre « I have a Dream » de Martin Luther King, qu’elle finit par se rendre « célèbre ». Critiqué, décrié, jugé, apprécié ou soutenue, les avis divergeaient quand à la jeune femme et ses sœurs, on parlait d’elles que ça soit en bien ou en mal, mais on parlait d’elles. Pendant des années les AKΛ n’étaient vu que comme des militantes, des féministes trop engagées et beaucoup trop sérieuses. Durant les années 90. Une Présidente du nom d’Anaïs Littleton, instaura une ambiance plus légère. Les bizutages autrefois de moindres importances, furent de plus en plus craints, instaurant un climat de mystère et de secret autour de cette sororité inspirant autrefois uniquement le respect. De nos jours les Alpha Kappa Lambda, sont décrites comme des dégantées. On entre pas dans cette confrérie uniquement pour le prestige, et les bonnes notes. Car il faut l’avouer, toutes les élèves n’en demeurent pas moins brillantes, perçues comme des castratrices en vue des positions importantes que les anciennes sœurs occupent dans la société actuelle. Ce sont des femmes fortes, sûr d’elles, peut être un peu trop sans le moindre doute. Elles n’ont pas de mal à se faire entendre. Et si elles adorent faire la fête, elles sont également connue pour être indépendante et jouer avec les hommes. Au niveau locale, la confrérie AKΛ est installée à la MVU depuis 1987. Elle est à ce jour présidée par Chuck Hawkins, entamant sa toute première année de présidence. Elle n’en est pas moins confiante quant à l’avenir de la confrérie au sein de Michigan Valley University. Récemment, les sœurs de cette sororité ont pu voit un jacuzzi être installé. Il y est depuis trois ans, et cette pièce spacieuse ne cesse de prendre des allures de SPA. Souhaitant l'agrandir et l'aménager bien mieux encore la présidente compte bien collecter plus de fonts. Débordante d'énergie, les sœurs de cette sororité n'ont peur de rien et n'ont pas peur de se salir les mains.


« Bonjour Mesdemoiselles ! Pour commencer par les présentations, je suis Chuck Hawkins et je serais à la tête des Alpha Kappa Lambda dès à présent. Je ne vous apprendrai rien quant à l’avenir prestigieux auquel vous vous destinez en nous rejoignant. Bien sûr, cela demande un engagement personnel sans limite. S’il vous faut travailler ? Sans le moindre doute, pas d’écervelée parmi nous. « Soit belle et tais-toi » nous en laisseront le mérite aux autres. Nous, nous avons la langue bien pendue, mais nous ne prenons pas la parole pour des raisons futiles. Aucune fille à papa coincée dans nos rangs, ça nous horripile et nous n’en avons pas besoin. Si notre curriculum vitae promet d’être bien remplie, notre vie aussi et nous ne dirons jamais non à une soirée de fête. Quant aux prudes rêvant au prince charmant, et à des idéaux de l’ancien temps, pas chez nous ! Nous vivons avec notre temps, nous profitons un maximum et nous ne nous enfermons pas dans des prisons, aussi abstraites soient-elles, comme le mariage. La liberté avant tout mesdemoiselles. Je conclurais le tout, en vous rappelant que la trahison est formellement interdite, nous sommes sœurs et nous, nous soutenons les unes les autres et ce quoi qu‘il advienne. Bienvenue à vous! »


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